Retour sur la Féria de Vic-Fezensac 2022

Nous vous proposons un retour général sur la Féria de Pentecôte à Vic 2022.

Samedi 4 juin

Matinal

6 novillos de Raso de Portillo/El Quiñon (6°) pour
Cristian Pérez : silence après 2 avis et salut
Diego Peseiro : silence après 2 avis et salut
José Rojo : silence après 2 avis et salut au tiers

Novillada en demi-teinte de Raso de Portillo, de présentation inégale avec un second exemplaire en dessous du reste du lot. Trois novilleros courageux mais manquant d’expérience devant du bétail exigent.

Tarde

6 toros de Valdellan pour
Antonio Ferrera : silence, sifflets après avis et silence
Domingo Lopez Chaves : salut au tiers, vuelta et silence

Intéressante fut cette corrida de Valdellan avec six exemplaires dans l’ensemble maniable et qui permettaient aux toreros de s’exprimer. Bonne prestation de Lopez Chaves, ce qui ne fut pas le cas de Antonio Ferrera, en retrait avec un engagement loin de son apogée.

Dimanche 5 juin 2022

Matinal

6 toros de Baltasar Iban pour
Ruben Pinar : salut et sifflets
Javier Cortés : salut après 2 avis et silence
Damian Castaño : sifflets et silence après avis

Corrida intéressante de Baltasar Iban avec une vraie corrida torista comme on les aime. Les toros, encastés et intéressants ont cheval, ont montré des qualités. Seul Javier Cortés s’est hissé au niveau du lot, trahi malheureusement par l’épée.

Tarde

6 toros de Cebada Gago pour
Morenito de Aranda : silence et salut au tiers
Alberto Lamelas : silence et silence
José Cabrera (alternative) : silence et silence

A l’occasion de l’alternative de José Cabrera, la corrida décevante de Cebada Gago n’aura pas permis de marquer de la bonne manière cet événement. Avec une présentation des toros contestée et des cornus manquant de race en piste, le public vicois contesta à l’issue de la corrida.

Lundi 6 juin 2022

6 toros de José Escolar Gil pour
Domingo Lopez Chaves : vuelta et bronca
Octavio Chacon : silence et bronca
Sergio Serrano : silence après avis et silence

La corrida de clôture de José Escolar Gil n’a pas convaincu. Avec un lot manquant de race, avec des toros parfois intoréables, seul Domingo Lopez Chaves tira son épingle du jeu en héritant du meilleur de la tarde.