Dans le cadre des Fêtes de la Saint-Jean du 24 au 28 juin 2022, la tauromachie française sera mise à l’honneur, particulièrement le samedi 25 juin, jour des 50 ans de l’action des toreros français venus le 25 juin 1972 créer un coup d’éclat pacifique en sautant en piste lors d’une novillada où participaient trois novilleros étrangers. Depuis cette date, de nombreux professionnels français ont fait carrière : matadors, novilleros, picadors, banderilleros, éleveurs…). Une contribution importante à la bonne santé de l’Afición française et à l’économie régionale.
Paseo des deux corridas à 18h
Le 25 après la corrida : grande soirée festive aux arènes
Le 26 à 11 h : Fiesta campera avec des novillos sans picadors et des participations surprises
Abonnements à partir du 5 avril (pour tout abonnement la fiesta campera est offerte) – Location par corrida à partir du 29 avril
Réservation : www.billetweb.fr/location-corridas-stsever-2022
Office de Tourisme Landes-Chalosse : 05 58 76 34 64
Places à partir de 27 € – Tarif jeunes jusqu’à 18 ans : – 50 % sur tous les rangs 4 à 7
Gratuit pour les moins de 10 ans
Chèques vacances acceptés
Organisation : Association des Fêtes de Saint-Sever
Information : toros.fetessaintsever@gmail.com
Un visuel spécial
Créée par Jean-Marc Barnèche, l’affiche de la féria événements est particulièrement symbolique cette année, mêlant patrimoine historique et patrimoine taurin :
• Une photo de Nimeño II, premier matador français reconnu comme « figura » dans les 8 pays de la planète taurine, prise par le créateur du visuel le 14 mai 1989 dans les arènes de Nîmes, au paseo, lors d’un mano a mano historique avec Victor Mendes. Christian Montcouquiol – Nimeño II était présent le 25 juin 1972 avec son frère Alain et Simon Casas dans les arènes de Saint-Sever.
• Le fond reprend la première page du Beatus de Saint-Sever, célèbre manuscrit enluminé du XIe siècle présentant le commentaire de l’Apocalypse du moine Béatus de Liébana. Il est commandé par l’abbé Grégoire de Montaner, un esprit hors normes formé à l’abbaye de Cluny, véritable centre culturel à cette époque, à l’origine du plan monumental de l’abbatiale à sept absides échelonnées.
Précieusement conservé à la Bibliothèque Nationale de France, ce manuscrit est le seul parmi les trente-deux Beatus retrouvés aujourd’hui à avoir été réalisé au nord des Pyrénées.